Aston-Martin DB5 - 1963 - AUTOART

Après la carrière plutôt discrète mais réelle et efficace de l'Aston Martin DB4, David Brown et son équipe dévoile une nouvelle voiture, qui est surtout une évolution réactualisée de la DB4, avec des inspirations de DB4 GT. Mais, cette fois-ci, le marketing et la publicité allaient être utilisés par la magie du 7e art. La DB5 en devenant la voiture du plus célèbre agent secret du MI6, va obtenir une renommée internationale reconnue…

La ligne dessinée par Touring était dans la continuité de celle de la DB4, fortement inspirée de la variante DB4 GT, bien dans le ton des GT de l'époque, à l'image des Ferrari 250 GT notamment.

La principale différence entre la DB4 et sa remplaçante la DB5 se situe au niveau du moteur. Ce dernier, un six cylindres en ligne double arbre, est en effet porté à une cylindrée de 4,0 L contre les 3,7 L de la DB4, par réalésage (96 millimètres au lieu de 92)5. Cette nouvelle configuration moteur lui confère ainsi près de 282 ch à 5 500 tr/min pour être propulsée à une vitesse maximale de 230 km/h. La DB5 effectue ainsi le 0 à 100 km/h en 8,1 s.
La mécanique de la DB5 s'équipe d'une boîte de vitesses ZF à cinq rapports, qui remplace l'ancienne transmission « David Brown » à quatre vitesses.
Vendue dans les années 60 le prix d'une Ferrari, l’entretien était proche en terme de coût des Rolls-Royce, ce qui n'a pas changé !

L'Aston Martin DB5, c'est un concentré de ce que représente le Royaume Uni : de la classe, de l'humour (James Bond), un amour des GT (technologie, raffinement technique), et une ligne intemporelle. Adulée par les néophytes et les amateurs, elle mérite amplement son succès, car elle est également une des dernières réalisations phare sous l'égide de David Brown.
L'Aston Martin DB5 ? Un mythe à acheter et à conserver, avec hélas un budget conséquent pour l'entretenir…
PRODUCTION ASTON MARTIN DB5
Coupés : 886 exemplaires (1963-65).


















La ligne dessinée par Touring était dans la continuité de celle de la DB4, fortement inspirée de la variante DB4 GT, bien dans le ton des GT de l'époque, à l'image des Ferrari 250 GT notamment.

La principale différence entre la DB4 et sa remplaçante la DB5 se situe au niveau du moteur. Ce dernier, un six cylindres en ligne double arbre, est en effet porté à une cylindrée de 4,0 L contre les 3,7 L de la DB4, par réalésage (96 millimètres au lieu de 92)5. Cette nouvelle configuration moteur lui confère ainsi près de 282 ch à 5 500 tr/min pour être propulsée à une vitesse maximale de 230 km/h. La DB5 effectue ainsi le 0 à 100 km/h en 8,1 s.
La mécanique de la DB5 s'équipe d'une boîte de vitesses ZF à cinq rapports, qui remplace l'ancienne transmission « David Brown » à quatre vitesses.
Vendue dans les années 60 le prix d'une Ferrari, l’entretien était proche en terme de coût des Rolls-Royce, ce qui n'a pas changé !

L'Aston Martin DB5, c'est un concentré de ce que représente le Royaume Uni : de la classe, de l'humour (James Bond), un amour des GT (technologie, raffinement technique), et une ligne intemporelle. Adulée par les néophytes et les amateurs, elle mérite amplement son succès, car elle est également une des dernières réalisations phare sous l'égide de David Brown.
L'Aston Martin DB5 ? Un mythe à acheter et à conserver, avec hélas un budget conséquent pour l'entretenir…
PRODUCTION ASTON MARTIN DB5
Coupés : 886 exemplaires (1963-65).
















