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« Général, je naquis quand la patrie périssait. Vingt mille Français vomis sur nos côtes, noyant le trône de la liberté dans les flots de sang, tel fut le spectacle odieux qui vint le premier frapper mes regards… Vous quittâtes notre île et, avec vous, disparut l’espérance du bonheur. »

Lettre Bonaparte à Pascal Paoli


"Ne reconnais jamais un français comme maître"

Napoléon Bonaparte
Nouvelles de jeunesse
Les Réfugiés de La Gorgona

Le plus grand des Corses et des français ....